RÉALISATEUR

Michel ROUSSEAU

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S'affirmer pour créer et créer pour s'affirmer.

Michel Rousseau s'intéresse depuis son adolescence aux phénomènes paranormaux et plus particulièrement au phénomène OVNI.  Parallèlement à ses études il joue de la batterie en autodidacte et passe ses mercredis après midi à jouer aux Jeux de Rôle (JDR) avec ses amis. Il adore endosser le rôle de Maître du jeu et imaginer des aventures à vivre pour ses amis. A l'époque il joue à "Oeil Noir", "Donjons & dragons", "James Bond" ou encore "Star Wars" sans oublier les "Livres dont vous êtes le héros".
Il déclare "Très tôt j'ai voulu créer de la musique, créer des histoires qui entrainent les gens à s'investir. Même encore aujourd'hui j'ai ce besoin permanent et il m'est difficile de rester passif pendant deux heures devant une télévision. Je m'ennuie très vite si l'histoire ne touche pas ma propre vie ou ne me propose pas de nouvelles ouvertures, de nouvelles pistes de réflexion pour avancer".  

 

Le processus de déprogrammation.

Ainsi, lorsqu'il réalise son premier court métrage en 2016, intitulé "Les Gardiens de la Matrice" il s'agit d'un docu fiction dont le but est de montrer à quel points certains témoins de phénomènes paranormaux se trouvent isolés et rejetés par une société cadrée. 

"C'est quelque part une forme de discrimination et justement un refus d'ouverture et de progrès de nos connaissances. Nous devrions au contraire consacrer énormément de temps à tenter de comprendre le mystère de notre existence. Dès lors, je déteste répéter la même journée. Le métro boulot dodo et le conditionnement des masses au travers de la pensée unique n'est vraiment pas fait pour moi. Il est important de toujours se remettre en question"

En 2017 germe l'idée du projet "Vortex, l'aube de la souveraineté", un premier long métrage cette fois qui mêle la Science Fiction à l'éveil.
"Mon premier court métrage était un essai mais son succès m'a entrainé vers de nouveaux horizons. L'idée de base de Vortex est de mettre en évidence le fait que notre Histoire vit des boucles et qu'à partir de ce constat on peut faire en sorte d'éviter que certaines choses arrivent dans notre futur. Il est par exemple intéressant de constater que la plupart des révolutions aboutissent à des lois liberticides. A l'échelle mondiale on peut observer un couvercle qui se referme peu à peu, faisant petit à petit de nous de véritables machines formatées à penser et à agir.
Si nous avons une vision partielle ou même faussée de la réalité de par nos sens et notre conditionnement, l'Humanité emprunte un parcours guidé ce qui peut remettre en cause notre libre arbitre. "Lorsque j'observe le comportement des individus, je ne vois plus que des programmes. C'est d'ailleurs très bien mis en image avec ces grilles numériques vertes dans le film Matrix. J'ai l'impression de ne plus voir que des uns et des zéros, des lignes de codes d'un programme.
Comment déprogrammer les humains afin qu'ils retrouvent leur souveraineté ? Voilà le sujet initial de "Vortex, l'aube de la souveraineté".

Changements de costumes.

Les notions de souveraineté, de libre arbitre et de liberté évoquées dans Vortex ne peuvent avoir de sens que si le réalisateur lui même sort des sentiers battus en changeant de perspective.
Scénariste, réalisateur, acteur, compositeur, concepteur d'effets spéciaux et d'animations 3d, acteur,
comédien voix off : Michel Rousseau veut aller jusqu'au bout du processus créatif : "non seulement parce que c'est enrichissant mais aussi du fait que cela permet de garder une ligne de conduite jusqu'au bout en évitant toutes sortes de parasitages.
C'est aussi ça retrouver sa souveraineté : ne plus dépendre du bon vouloir ou de la puissance d'autrui. Même chose pour les personnages principaux, ce sont des personnes de ma famille qui sont en phase avec ma perception et mes idées.
Et quand il y a des limites au projet, il faut savoir contourner les problèmes. "Je sais où je dois aller. Pour les choses que je ne savais pas faire, j'ai appris et quand je ne parvenais pas à matérialiser mon idée, je trouvais moi même des solutions, des détours pour parvenir à mes fins.
On peut perdre beaucoup de temps et d'énergie en refusant de changer d'idée.
C'est ça faire un film : mettre en scène avec deux bouts de ficelle, une belle lumière, un bel angle de vue, un bon rythme et une belle musique.  Je n'ai ni le budget d'un Star Wars, ni l'expérience de 20 années dans les effets spéciaux par exemple. Je ne suis pas non plus un chef d'orchestre mais je sais où je dois aller, peu importe le moyen de locomotion que je vais utiliser. Je connais mes qualités : de la persévérence et beaucoup de patience."
En travaillant seul le jour, la nuit, les weekends non stop pendant des années sur un projet, parfois jusque 18 heures par jour, on progresse à une vitesse exponentielle mais c'est un sacrifice de taille, on perd la notion du temps et on a tendance à s'isoler. "Je pense qu'il va me falloir un peu de temps pour sortir définitivement du projet. On ne peut pas balayer d'un trait quatre années de travail intense mais je sais que j'aurai accompli le plus gros travail artistique de ma vie.


Un ebook pour les réalisateurs.

Michel Rousseau a remporté 78 awards dans le monde entier grâce à ce film. Il a décidé de révéler des conseils et astuces aux réalisateurs désireux de s'inscrire aux festivals de films. Comment s'inscrire, comment mettre toutes les chances de son côté ?
Vous trouverez les réponses dans son nouvel ebook intitulé "Comment j'ai obtenu 78 awards avec mon film et comment vous le pouvez vous aussi".


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